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MORT D'UNE MONTAGNE 
Texte de Jérôme Cochet et François Hien, écrit entre 2020 et 2022
Ce texte est élaboré à la faveur d'une résidence d'artiste de François Hien et Jérôme Cochet aux Adrets en Belledonne, en lien avec Scène Obliques et le festival de l'Arpenteur.
Création en 2022 par la Cie Les Non-Alignés - Mise en scène de Jérôme Cochet
Pièce lauréate du prix Incandescences 2022.
Avec Jérôme Cochet en alternance avec Martin Sève, Fabienne Courvoisier, Stéphane Rottenberg, Camille Roy.
Création sonore : Caroline Mas - Scénographie : Caroline Frachet - Création lumière : Nolwenn Delcamp-Risse - Création vidéo : Jérémy Oury - Production : Maïssa Boukehil
Dossier de presse, revue de presse, teaser et dates de tournée disponibles ici.
Nous sommes dans un massif imaginaire, le massif des Hautes Aigues. Un petit village est en alerte depuis que se produisent des éboulements réguliers qui menacent la pratique de l’alpinisme sur les sommets voisins... Alors que les acteurs du territoire (guides, habitants, scientifiques, gardiens de refuge, responsables du parc naturel, agriculteurs, etc...) s’interrogent sur l’avenir de la vallée, les pouvoirs publics annoncent la nomination d’un haut-commissaire à la transition climatique en montagne, venu faire un diagnostic de territoire. Parallèlement arrive une voyageuse, décidée à réaliser l’ascension du sommet majeur de la région, la Grande Reine, dont une partie s’est récemment effondrée. A la faveur de cette ascension, se déploie peu à peu le panorama d’un paysage profondément bouleversé par le réchauffement climatique, et traversé d’inquiétude.

Nous suivons en parallèle plusieurs personnages pris dans la montagne et confrontés à l’urgence des enjeux qui la concernent. Tous se retrouveront au refuge du Vautour, sous le sommet de la Grande Reine. Fanny, la gardienne, y scrute avec angoisse les falaises qui s’effondrent autour d’elle.

Mort d'une montagne est une chronique documentée qui vire au mythique. À la fois concrète et poétique, cette lente ascension déploie l’image d’une humanité perchée sur son promontoire, au bord du précipice...

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